Le Self-Leadership, c'est aussi pour les dirigeants
Jean-Yves Mercier

Le Self-Leadership, c'est aussi pour les dirigeants

Jean-Yves Mercier

Guillaume Clément, CEO de Resology et gagnant des premiers Trophées Défis d’Entreprise organisés en 2011 par le Club des Entreprises de l'Ouest toulousain,  partage ici son expérience.

" Chef d’entreprise d’un groupe de PME, J'ai eu le plaisir de faire la formation Self-Leadership.
Le travail sur moi qu’impose cette formation m’a obligé à prendre de la hauteur pour trouver cette quête de sens qui nous anime tous. Le temps long que nécessite ce travail m’a permis de m’approprier les outils pour prendre le contrôle de mes softs skills. L’hyperconnectivité dans laquelle nous baignons constamment est antinomique avec la projection à long terme de la vision du chef d’entreprise ".

Guillaume a participé à un groupe rassemblant 4 chefs d'entreprise, qui tous se posaient la question de la direction à donner à leur société, mais finalement aussi à leur carrière. Continuer, croître, voire vendre ?

Guillaume a fait son choix :

" C’est dans cette gestion des paradoxes et tiraillements que les outils sont opérationnels. Il en résulte une clarté de vision sur le temps long qui permet de donner un cap précis au équipes avec confiance et sérénité dans des temps chaotiques. Ne laissons pas les influences extérieures prendre possession de nos vies, redevenons entrepreneur de nos vies ! "

Revenir au blog

Découvrir d'autres articles

L’entreprise est-elle responsable du sens ?

L’entreprise est-elle responsable du sens ?

Prôner le self-leadership de chacun pourrait laisser croire que les individus portent toute la responsabilité du sens de leur action. Position justement décriée par certains auteurs actuels, comme Christophe Genoud. Mais alors, seraient-ce nos organisations qui en sont responsables ?

Leadership : qu’est-ce qu’être un vrai leader ?

Leadership : qu’est-ce qu’être un vrai leader ?

« Un vrai leader ». Qu’est-ce qui se cache derrière ce mot qui recèle tant de fantasmes ? Y a-t-il les leaders et les autres ? Ou au contraire, pouvons-nous tous le devenir ? Quelles seraient alors les qualités d’un bon leader ?

Faut-il être ambitieux pour être un bon leader ?

Faut-il être ambitieux pour être un bon leader ?

“Les dents qui rayent le parquet”. Cette célèbre expression, image de l’ambition humaine, sonne comme un jugement. En effet, l’ambitieux qui cherche à tout prix le succès, le statut et l’argent. Celui qui veut toujours plus à des fins purement personnelles. Mais l’ambition se cantonne-t-elle seulement à ce carcan péjoratif ? L’ambition, si elle est perçue aussi négativement, ne peut-elle cependant être au service du mieux ? Doit-on avoir de l’ambition pour être un vrai leader ?

Sens individuel et sens collectif, une co-responsabilité

Sens individuel et sens collectif, une co-responsabilité

Les visions figées, où l’individu charge l’entreprise de lui donner du sens, où l’entreprise charge ses collaborateurs d’adhérer au sens collectif, ne suffisent plus. Il y a co-responsabilité pleine et entière face à la relation entre les 2 parties. L’individu est totalement responsable de son bien-être au travail, sans que cela n’enlève rien à la responsabilité de l’entreprise en la matière. L’entreprise est totalement responsable des résistances qu’elle rencontre, sans que cela n’enlève rien à la responsabilité d’évolution de ses collaborateurs. Ces phrases bousculent bien des idées ancrées dans nos sociétés. Elles s’attaquent simplement à la bonne vieille recherche du coupable.